Une réponse à l’invitation du Cèdre par un lutin déjanté, qui a eu envie de s’exprimer en ces temps ou un vent de liberté souffle: Il n’y a pas de fins, il n’y a que des naissances, Il n’y a pas de souffrances, il n’y a que des errances, autour de ton nombril, autour de ta vie, autour de ta magie. La présence fait toute la différence et te donne les codes de ton centre d’où jaillit les principes infinis de ta vie, d’où s’étendent les liens sacrées de tout envie. Alors éclatent toutes les impressions de séparation et se diffusent les graphismes colorés de la créativité. Sans doute tu appelles déjà Sans doute tu te plains de ce qui ne va pas Sans doute la vie te réponds déjà, là! Pas à pas, prends la marche de ces réponses car elles t’emmeneront là où il n’y a plus de questions. Il n’y a pas de fins, il n’y a que des naissances. Il n’y a pas de buts, il n’y a qu’une multitude de chemins.
Belle continuation au Cèdre et à Eléazi, dont je vous laisse le soin de découvrir…